images écrites / stances
1-50 / 51-100 / 101-150 / 151-200 / 201-250 / 251-300 / 301-350 / 351-400 / 401-450 / 451-500
#stance 351.
tout le monde a droit à
une seconde chance.
(sauf toi) –
#stance 352.
– dans la vraie vie, ce sont les méchants qui gagnent à la fin, toujours.
(ce que je ne pourrai jamais te dire) –
#stance 353.
il y a des gens qui te feront du mal, juste pour te faire du mal. en pleine conscience.
(ce que je ne pourrai jamais te dire) –
#stance 354.
non l’espoir ne fait pas vivre, bien au contraire.
non l’amour ne vainc pas tout. bien au contraire.
(ce que je ne pourrai jamais te dire) –
#stance 255.
non quand on veut on ne peut pas toujours.
(ce que je ne pourrai jamais te dire) –
#stance 356.
non on n’a pas toujours le choix.
non on n’a pas la vie devant soi.
(ce que je ne pourrai jamais te dire) –
#stance 357.
non les derniers ne seront jamais les premiers, ils resteront toujours les derniers.
(ce que je ne pourrai jamais te dire) –
#stance 358.
– les photographes, tous des connards qui pensent qu’au cul. et toi au fait tu fais quoi dans la vie ?
– euh, pho… forestier, garde forestier.
j’t’offre un verre chez moi ? –
#stance 359.
bonjour
je t’écris pour te dire que je ne t’écrirai plus. –
#stance 360.
elle compte ses grains de beauté
elle rit de plus belle
elle mange des parts de ciel
elle laisse le soleil la mirer.
– 18, j’en ai. –
#stance 361.
pendant ce temps-là, à Kyoto…
trois sourires de femme
deux hirondelles qui ne font pas le printemps
un haïku photographique
Lucie tend les doigts et capture une image dans ses mains. –
#stance 362.
pendant ce temps-là, à New-York…
un verre de Pinot noir
une fenêtre ouverte à Brooklyn
le rire de Mika
une histoire de ponytail
une femme aux chaussures rouges descend d’un yellow cab en regardant sa montre.. –
#stance 363.
pendant ce temps-là, à Toulouse…
la neige
un feu d’artifice
un rire étouffé.
des cheveux noirs tournent en boucle entre les doigts d’une constellation. –
#stance 364.
pendant ce temps-là, à Marseille…
une nuit filante
une relance à trèfle
une goupille
un corps chaud s’ébruite dans des draps blancs qui le recouvre à peine. –
#stance 365.
pauvre conne
se disait-elle
en se mordant les lèvres
jusqu’au sang. –
#stance 366.
à trop embrasser dans le noir
on oublie les visages
ne reste que des lèvres
violacées d’être baisées. –
#stance 367.
. –
#stance 368.
elle attendait la neige
ne venait toujours que la nuit
blanche
incertaine
noire de toute sa blancheur. –
#stance 369.
elle a 4 grains de beauté formant un triangle
ou deux triangles rectangle accolés
symétrie sur cuisse. –
#stance 370.
t’ôter
les mots
de la bouche
y prendre goût. –
#stance 371.
ces courtes nuits si longues
ces blanches nuits si noires. –
#stance 372.
cherche Muse
CV et lettre de motivation à envoyer par courriel uniquement :
frankc.orsoni@gmail.com. –
#stance 373.
comme un enfant
qui en serrant trop fort
l’oiseau-lyre entre ses mains
le blesse l’abîme
de l’amour qu’il lui porte. –
#stance 374.
elle a la fraîcheur de l’été
au bord de ses lèvres
la simplicité du bleu
au bord des yeux
quand elle rit aux éclats
le monde valse
de toute sa jeunesse. –
#stance 375.
te fourrer
le doigt
dans l’œil. –
#stance 376.
la vie n’est qu’une clameur
un baiser sur des lèvres aimées
un souffle sur une nuque
une caresse au réveil
un mot toujours le même
tournoyant comme un soleil :
amour. –
#stance 377.
me lever
à tes lèvres. –
#stance 378.
sans compter
sur avril
et les fils à ne pas découvrir. –
#stance 379.
la tristesse des abandons
sur les quais
de gare de Garonne
de port de Vieux-Port
un soir de février un matin de juin. –
#stance 380.
tu piétinais les ombres
de ta clarté éthérée
elle tapissait le monde
en battant pleine mesure. –
#stance 381.
tremper
mes doigts
dans tes
cheveux. –
#stance 382.
être toujours dans les jupes
de ta mère.
être toujours dans les jupes
de la mer. –
#stance 383.
la vie c’est pas du gâteau
c’est du champagne
(et du Bollinger s’te-plaît). –
#stance 384.
tremper ses lèvres
mouiller
trempée. –
#stance 385.
te coller
mon sourire
aux lèvres. –
#stance 386.
tu pourras me foutre les râteaux que tu veux
je te roulerai des pelles
sache-le. –
#stance 387.
ne plus savoir où
te mettre. –
#stance 388.
être
dans toutes tes bouches
sur toutes tes lèvres. –
#stance 389.
se merveiller se réinventer
s’ensemencer s’enserrer
s’aimer aimer t’aimer
mantra. –
#stance 390.
tu cherchais le sommeil
tu effaçais les traces du jour
la nuit te donnait les étoiles
entre tes mains tu souriais. –
#stance 391.
la nuit était venue à pas de loup blanche comme l’agneau
dans la forêt de ta chevelure
je respirais à tes parfums
mes mains éperdues de ta peau nue. –
#stance 392.
avoir
la bouche
pleine de. –
#stance 393.
en avoir
plein
les doigts. –
#stance 394.
tapisser
ta
bouche. –
#stance 395.
te remplir de ma lumière
pour éteindre les ombres glissées
sur tes paupières. –
#stance 396.
– sans édulcorant ou stabilisant
bio et local
sans gluten sans arachide
sans protéines animales
sans…
(il lui coupa la parole en lui tendant de l’herbe. quelques minutes plus tard, ils étaient assis au mac do du Vieux-Port). –
#stance 397.
deux images japonaises
deux petites grues
deux amours. –
#stance 398.
donne-moi
ta bouche
de métro
que je la rejoigne. –
#stance 399.
je me piquerai à tes aiguilles
je te coudrai la bouche
tu te tairas au fil de mes baisers. –
#stance 400.
à
la
dérobée. –
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